Février 2021 : l’Alliance du Commerce dans les médias

22/02/21Revue de presse

Panel Alliance du Commerce – Retail Int.

Presse Agence, le 5 février : PARIS : Enseignes de mode et grands magasins, quelle visibilité sur leur réouverture ?

  • « L’annonce de la fermeture des centres commerciaux et des magasins de plus de 20 000 m², en plein milieu des soldes, est un nouveau coup dur pour les commerçants. Les premiers chiffres montrent une perte d’activité de 40% pour les réseaux touchés par cette mesure. Ces nouvelles restrictions doivent donc absolument s’accompagner d’aides adaptées bénéficiant à l’ensemble des entreprises impactées et prenant notamment en compte les loyers et les charges. Alors que de nombreuses études ont démontré que les commerces ne contribuent pas à la propagation du virus, il est urgent que le Gouvernement donne de la visibilité aux enseignes sur la date de leur réouverture. Cela est d’autant plus important que les collections Printemps-Été doivent arriver en magasin dès la fin des soldes, souligne Yohann PETIOT, le Directeur général de l’Alliance du Commerce. »

La Correspondance de l’Enseigne, le 5 février :

  • « Le panel de l’Alliance du Commerce et Retail Int. affiche en janvier un recul du chiffre d’affaires des enseignes de l’habillement de – 19,3 % et une baisse de [fréquentation] de – 39,6 %. Si les centres-villes et les centres commerciaux trinquent avec le décalage des soldes (- 19,2 % de ventes par rapport aux dix premiers jours de 2020) et le couvre-feu de 18h, les retails parks résistent mieux, avec une baisse de fréquentation – 24 %. En ce qui concerne les chaînes de magasins présentent dans les centres de plus de 20 000 m², fermés depuis le 31 janvier, la chute de l’activité globale sur les premiers jours de février se chiffre à – 40 %. »

Fashion Network, le 8 février : Soldes d’hiver: pas de sursaut de consommation durant les premiers jours

  • « La période est particulièrement délicate pour les enseignes d’habillement. Selon le bilan de l’Alliance du commerce (en partenariat avec Retail.Int), leur chiffre d’affaires a chuté de 19,2% du 20 au 31 janvier, par rapport au début des soldes de l’hiver 2020. La fréquentation est en fort repli de 36,7%. Cette chute du trafic est en adéquation avec celle enregistrée durant tout le mois de janvier (-39,6%). Il n’y a donc pas eu de sursaut pour les soldes. Sur la totalité du mois dernier, précisons en outre que les chaînes de mode ont connu un recul d’activité de 19,3%. »

France 3, le 28 février : Bilan frileux à deux jours de la fin des soldes d’hiver

  • « Certains s’en sortent mieux : ceux qui ont pu passer entre les gouttes des fermetures administratives, profitent d’un « report de consommation des magasins fermés », observe Yohann Petiot. Toujours sur la base d’un panel d’une quarantaine (sic) d’enseignes représentatives du marché de l’habillement, coréalisé avec Retail Int., il observe que ceux qui étaient ouverts en février ont connu une progression de leurs ventes de 28%. Ces magasins ont aussi pu profiter d’un décalage des soldes. »

Fermeture des magasins de plus de 20 000 m²

AFP, le 2 février (Sud Ouest, Business Insider, Capital, La Tribune, etc.) : Fermeture des centres commerciaux : un coup dur de plus pour les grands magasins

  • « Les différents acteurs attendent beaucoup d’une réunion prévue en milieu de semaine avec le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Pour le moment, les aides ne sont pas du tout satisfaisantes, alerte encore Yohann Petiot. »
  • On stigmatise de grands sites qui avaient investi pour la mise en place d’un protocole sanitaire et prouvé qu’ils n’étaient pas forcément propagateurs de l’épidémie, déplore aussi Yohann Petiot, de l’Alliance du Commerce. Pour certaines enseignes, cela devient extrêmement compliqué, il y a eu trois mois de fermeture, la perte de la clientèle touristique, et maintenant une fermeture sur la période des soldes, qui doit s’achever le 16 février… »
  • « Bien sûr, « les soldes vont se poursuivre sur internet, mais ce n’est pas ce qui va sauver le business », avertit Yohann Petiot. »

Eco Réseau, le 2 février : Tour de vis ciblé

  • « Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, déplore «des annonces qui stigmatisent, en période de soldes, un certain type de commerces. Il est certain que la mesure pénalise particulièrement les enseignes dont la majorité des magasins sont situés au sein de grandes galeries commerciales, ainsi que les grands magasins habitués aux très grandes surfaces, à l’instar d’Ikea, contraint de fermer la quasi-totalité de ses points de vente. Toujours selon Yohann Petiot, les aides ne sont pas du tout satisfaisantes. »

LSA, le 8 février : La mode en pleine crise : -20% de chiffre d’affaires, encore, en janvier…

  • « Selon l’Alliance du Commerce, les enseignes du textile-habillement commencent l’année 2021 dans la crise : le chiffre d’affaires moyen recule de 20% et la fréquentation de 40%. L’année 2021 commence comme 2020 s’est déroulée pour les enseignes de mode en France. C’est-à-dire mal… Le chiffre d’affaires de janvier ? -20%. La fréquentation des magasins ? -40%, selon les données fournies par l’Alliance du Commerce, concernant les enseignes de l’habillement de son panel. Dans le détail, seuls les commerces situés dans des zones d’activités commerciales et « retail park » font mieux, ou plutôt « moins pire », avec, pour ces derniers, une baisse de fréquentation de 24%. 7000 emplois déjà perdus. Dans ce contexte, l’Alliance du Commerce dresse un bilan provisoire des soldes d’hiver extrêmement négatif. »

BFM TV, le 8 février : Les magasins de vêtements dans le rouge en janvier à cause du Covid

  • « L’Alliance du commerce réclame au gouvernement d’indemniser les enseignes et grands magasins pour les pertes engendrées par la fermeture de leurs points de ventes dans les espaces commerciaux de plus de 20.000 m² durant le mois de février. »

LSA, le 10 février : Le grand imbroglio des fermetures obligatoires de centres commerciaux

  • « Pour Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, [le] décret [de fermeture] introduit une (énième) distorsion de concurrence : les pharmacies et les magasins alimentaires peuvent ouvrir, mais pas les opticiens. »

AFP, Le Figaro, Sud Ouest, Le Point, La Voix du Nord, etc., le 17 février : Le commerce veut un calendrier de réouverture des centres commerciaux et grands magasins, Les centres commerciaux veulent savoir quand ils pourront rouvrir

  • « Dans un communiqué commun, l’Alliance du Commerce, Procos, le Conseil du commerce de France, et le Conseil national des centres commerciaux (CNCC) souhaitent que le gouvernement indique rapidement aux entreprises un calendrier de réouverture de tous les commerces, pour éviter de fragiliser davantage des commerçants de toutes tailles et empêcher le risque d’effet domino qui ne manquerait pas de [survenir] dans tous les territoires, en cas de restructuration de chaines de magasins. »

La Correspondance de l’Enseigne, le 17 février : Onze fédérations : on rouvre quand ?

  • « Le collectif des grandes fédérations du commerce demande au Gouvernement (…) a minima une date de principe de réouverture. L’histoire scandaleuse des « grands centres commerciaux » fermés depuis le 31 janvier, qui emporte celle de 25 000 boutiques s’y trouvant, rappelle trop l’injustice des commerces « essentiels » et « non essentiels » (…) ».

Fashion Network, le 17 février : Les centres commerciaux et grands magasins veulent une date de réouverture

  • « Aujourd’hui, 25.000 grands magasins et commerces de centres commerciaux ont baissé le rideau et « de nombreux réseaux d’enseignes ont entre 30 et 75% de leurs magasins actuellement fermés dans les centres commerciaux », ce qui met aussi « en péril l’ensemble des industriels et fournisseurs » de ces derniers. »

LSA, le 17 février : Onze fédérations de commerce exigent des dates de réouverture des centres de plus de 20 000 m²

Institutions professionnelles, le 17 février : Un calendrier de réouverture souhaité par les professionnels du commerce

L’Officiel des réseaux commerciaux, le 17 février : Centres commerciaux : les fédérations interpellent le gouvernement

Sud Radio, le 18 février : Centres commerciaux fermés depuis trois semaines : « ce qu’il faut, c’est rouvrir »

  • « Cela fait bientôt trois semaines que les grands centres commerciaux sont fermés. Procos lance un appel au gouvernement avec l’Alliance du commerce, le Conseil du commerce de France et le Conseil national des centres commerciaux. Aujourd’hui, nous n’avons pas du tout de visibilité, explique Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, la Fédération du commerce spécialisé. À l’époque, la décision avait été prise de fermer les centres de plus de 20.000 m2 pour éviter la circulation du virus et des variants. Aujourd’hui, je pense que l’on a apporté notre écot à cette logique sanitaire. »

Le Journal du Dimanche, le 21 février, tribune : « Opération survie » : l’appel des dirigeants de deux fédérations de centres commerciaux

  • « Les 25.000 grands magasins et commerces de centres commerciaux ont donc apporté leur contribution active au combat sanitaire. Après un an de crise majeure, le report des soldes et la mise en place du couvre-feu, les grands magasins et les réseaux d’enseignes sont fragilisés et cette fermeture est une épée de ­Damoclès sur leur survie. »
  • « Contrairement à ce qui est trop largement diffusé dans l’imaginaire collectif, la décision du gouvernement ne revient pas à seulement fermer « les grands ». L’offre des centres commerciaux est constituée de dizaines de milliers de boutiques de toutes tailles, dont une partie significative est exploitée par des entrepreneurs indépendants ou franchisés. »
  •  « Les grands magasins et commerces non alimentaires des centres commerciaux de plus de 20.000 mètres carrés ne peuvent être ni les coupables, ni les victimes de la situation sanitaire actuelle. Le gouvernement doit le comprendre et reprendre en urgence les discussions pour parvenir à une sortie de crise rapide. Il y va de la survie économique de milliers d’entreprises et d’emplois. »

Prolongation des soldes

Le Figaro, le 12 février : Les soldes d’hiver sont prolongés de deux semaines, jusqu’au 2 mars

  • « Certaines entreprises de l’habillement souhaitaient disposer d’un délai supplémentaire pour écouler leurs stocks. Toutes les enseignes ne sont pas demandeuses d’une prolongation des soldes, mais celles qui le sont en ont vraiment besoin, explique Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce, qui regroupe de grandes enseignes de l’habillement. Faute de vendre la fin de la collection automne-hiver, elle courent le risque de manquer de trésorerie. »

Ouest-France, le 12 février : Pourquoi les soldes sont prolongés ?

Franceinfo, le 13 février : Commerces : deux semaines de soldes supplémentaires

  • « Pour les deux tiers des magasins, les stocks restent élevés. Cette prolongation des soldes va permettre de retirer une partie de ces stocks dans les magasins fermés pour les rediriger vers l’autre partie du parc aujourd’hui ouvert, explique Yohann Petiot, directeur général d’Alliance du Commerce. »

La Croix, le 14 février (avec l’AFP), Challenges (le 12 février), Libération, Fashion Network, etc. : Les commerçants partagés sur la prolongation des soldesSoldes prolongés: « une chance de plus pour écouler les stocks » des commerçantsSoldes : deux semaines de prolongation pour les commerçants, Les soldes d’hiver sont prolongés de deux semaines

  • « Las, le premier bilan n’est pas très bon, le chiffre d’affaires est en baisse de 20%, la fréquentation est à -35%, indique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, qui réunit les grands magasins, les magasins populaires et les enseignes de l’habillement et de la chaussure. Certaines de nos enseignes, notamment de l’habillement, des chaussures et les grands magasins, étaient demandeuses de cette possibilité de prolonger les soldes de deux semaines pour écouler leurs stocks, explique-t-il. »
  • « À l’Alliance du Commerce, Yohann Petiot souligne : les gens venaient déjà moins en magasin depuis la crise sanitaire, mais ce qui a porté un coup plus difficile a été le couvre-feu à 18h00, le télétravail et la fermeture des centres commerciaux de plus de 20 000 m² annoncée par le gouvernement le 29 janvier. »
  • « Cette prolongation n’est pas une obligation pour les commerçants, qui sont libres de poursuivre ou non les soldes après le 16 février, date initiale de fin de l’événement, tient-il à préciser à l’AFP. »
  • « Les deux semaines supplémentaires sont une chance de plus pour écouler les stocks, surtout qu’elle intervient alors qu’on a une météo d’hiver, avec des consommateurs ayant donc encore besoin d’acheter des vêtements chauds. »

L’Officiel des réseaux commerciaux, le 15 février : Le gouvernement prolonge les soldes, les fédérations sont sceptiques

  • « Du côté de l’Alliance du Commerce, on tempère un peu ce scepticisme. “Certaines de nos enseignes, notamment de l’habillement, des chaussures et les grands magasins, étaient demandeuses de cette possibilité de prolonger les soldes de deux semaines pour écouler leurs stocks”, remarque Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. En somme, pour les magasins fermés, le prolongement des soldes permettrait d’écouler le stock via Internet ou les autres points de vente restés ouverts. Mais pour l’organisation, si la mesure est utile, elle n’est pas suffisante. »

DNA (L’Est Républicain, L’Alsace, Le Bien Public, Vosges Matin, Le Progrès, etc.), le 16 février : Une soif de consommation en sommeil, Comment l’épidémie bouleverse nos achats

  • « C’était une demande de certaines enseignes pour écouler les stocks importants, d’autant que les soldes ont été beaucoup moins bons que l’an dernier. Cela ne répond pas aux problèmes des grands magasins et centres commerciaux de plus de 20 000 m² qui sont fermés et sans date de réouverture. »
  • « Il n’y a pas de gagnant dans l’équipement de la personne. Les trois mois de fermeture se sont traduits par une baisse globale de 22 % du chiffre d’affaires dans l’habillement. L’équipement de la maison, le bricolage et le jardinage ont moins souffert car les gens restés chez eux ont investi dans leur intérieur. »
  • « [La crise] a accéléré des tendances. La vente en ligne est passée de 15 % à 25 % dans le secteur de la mode. Les enseignes ayant à la fois des magasins et un site Internet ont gagné des parts de marché par rapport aux « pure players » mais cela n’a pas suffi à compenser leurs pertes. »
  • « On a vu à Noël qu’il y avait une soif de consommation. On peut imaginer que les Français auront envie de se faire plaisir lorsque la crise sera finie et la confiance sera de retour. Et espérer qu’une partie de l’épargne de ceux qui n’ont pas été touchés par la crise reviendra dans le commerce. »

Réglementation des vitrines intérieures des magasins

Fashion Network, le 26 février : Les enseignes s’inquiètent face à un projet de loi visant à encadrer les publicités lumineuses en vitrine

LSA, le 26 février : L’Alliance du Commerce entre dans la lutte contre le projet de réglementation des vitrines

  • « L’article 7 du projet de loi issu de la Convention Citoyenne pour le Climat veut soumettre les vitrines visibles depuis l’extérieur des magasins au règlement local de publicité, sous autorité des maires. L’Alliance du Commerce y voit atteinte à la liberté du commerce. »

Conjoncture économique

Le Figaro, le 5 février : Les magasins de vêtements croulent sous les stocks : que vont-ils faire de leurs montagnes d’invendus ?

  • « Quant aux dernières pièces qui ne trouvent pas preneur, les grands groupes ont l’habitude de les écouler sur des marchés à plus faible pouvoir d’achat. Le reste peut se retrouver envoyé à l’étranger, notamment sur le marché africain ou oriental, explique Yohann Petiot, Directeur général de l’Alliance du Commerce. Certaines enseignes choisissent de donner à des associations. Le recyclage, en revanche, présente encore des limites : on arrive assez bien à effilocher les anciens vêtements pour en faire des isolants ou autre, mais c’est plus difficile de produire de nouveaux habits avec, précise-t-il. »

Seconde main

Paris Match, le 4 février : Le succès de Vinted secoue le textile

  • « La seconde main est un relais de croissance par rapport à un marché traditionnel qui s’écroule depuis 2008, avec un recul du chiffre d’affaires de près de 17%, conclut Yohann Petiot. »

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