Janvier 2021 : l’Alliance du Commerce dans les médias

29/01/21Revue de presse

Panel Alliance du Commerce – Retail Int.

Journal du Textile, le 11 janvier : La saison pourra-t-elle être sauvée ?

  • « Selon le panel Alliance du Commerce – Retail Int. qui réunit 40 enseignes d’habillement, le chiffre d’affaires a certes augmenté de 10% malgré un trafic en baisse de 14%, mais cette bonne performance ne doit pas faire oublier que les pertes de novembre ne sont pas compensées. Loin s’en faut. Le cumul des deux derniers mois laisse apparaître une baisse moyenne de 30% des ventes en valeur. La fin de saison sera essentielle pour continuer de limiter les dégâts. Il faut éviter un troisième confinement qui serait dramatique, appuie Yohann Petiot. »

AFP, Notre Temps, Sud Ouest, le 19 janvier : A l’heure du Covid-19, les Français privilégient un shopping plus « efficace » que « plaisir » ou Habillement : en 2020, un shopping plus « efficace » que « plaisir »

  • « Les Français ont privilégié en 2020 les magasins de grande taille dans des zones à ciel ouvert et facilement accessibles, notamment en voiture. Ce sont notamment les zones d’activité commerciale en périphérie des agglomérations qui ont vu leur fréquentation progresser (à périmètre constant), alors que les centres-villes ont souffert de la baisse du tourisme, du télétravail et de manifestations, a expliqué Emmanuel de Courcel, fondateur de Retail Int. »
  • « Dans ce contexte, les soldes seront une période cruciale pour les enseignes, a expliqué Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, rappelant que les soldes d’hiver avaient représenté 13,5% du chiffre d’affaires annuel sur le panel 2019. Avec une interrogation particulière cette année quant au couvre-feu à 18H00, auquel les comportements des clients devront s’adapter. »
  • « Il a réitéré la demande de l’Alliance du Commerce au gouvernement, d’autoriser les commerces à ouvrir tous les dimanches des soldes, pour étaler les flux de fréquentation et permettre aux commerçants de rattraper une partie de leur perte de chiffre d’affaires. Les soldes d’hiver auront lieu du 20 janvier au 16 février. »

Les Echos, le 19 janvier : Soldes : les enseignes veulent ouvrir le dimanche pour compenser le couvre-feu

  • « Ces enseignes ont perdu plus d’un quart de leurs ventes l’an dernier dans les magasins, dont 80 % liés aux deux confinements, selon le panel Alliance du commerce – Retail Int. Sans ces trois mois de fermeture, le recul aurait été limité à 5 %, indique l’étude. Le boum de l’ e-commerce, en hausse de 61 % n’a pas suffi. Cela a été une belle croissance, mais loin de compenser la baisse des ventes, relève Emmanuel de Courcel, cofondateur de Retail Int. Elle n’a permis de rattraper que 4 points sur la perte d’activité. En cumulant les ventes en ligne et en magasin, le recul d’activité pour ces enseignes est ramené à 22,6 % en 2020. »

BFM Business, le 19 janvier : Habillement : une chute de 23% des ventes en 2020 et des changements de comportements

  • « Sans surprise, les deux confinements et la crise sanitaire et économique ont fait plonger les ventes du secteur, qui a enregistré une baisse de 22,6% au total, en comptabilisant les ventes en ligne. Celles-ci ont fortement progressé, mais partaient de très loin et ne compensent que de quatre points la perte d’activité en magasin. »

20 minutes, le 19 janvier : Les soldes d’hiver vont-ils pâtir du couvre-feu à 18 heures ?

Fashion Network, le 19 janvier : Les enseignes de mode ont perdu un quart de leurs revenus en 2020

  • « Alors que la reprise se poursuivait en septembre, faisant entrevoir un début de normalisation, « avec un meilleur moral et un retour à une activité shopping classique », le confinement déclenché fin octobre a compromis les mois d’octobre (-15%) et de novembre (-85%). Décembre a été plus florissant (+7,4%), grâce au décalage du Black Friday notamment, mais seulement en début de mois. Il faut rappeler que le point de comparaison, à savoir décembre 2019, avait été très mauvais (-7%), donc la fin d’année est restée très compliquée pour les enseignes, nuance Emmanuel de Courcel. »

AFP, France 24, Paris Match, Sud Ouest, Ouest France, La Provence, La Voix du Nord, Courrier picard, Le Télégramme, Capital, L’Express, L’Internaute, La Croix, etc., le 20 janvier : Soldes: les commerçants espèrent sauver leur saison ou Les soldes débutent ce mercredi, les commerçants espèrent sauver leur saison ou Soldes d’hiver : top départ des promos, les commerçants espèrent sauver leur saison ou Les commerçants espèrent un rebond avec les soldes d’hiver ou Avec le coup d’envoi des soldes, les commerçants espèrent sauver leur saison

  • « Les enseignes de ce secteur ont perdu près d’un quart de leur chiffre d’affaires annuel (22,6%), selon une étude du cabinet Retail Int. et de l’Alliance du Commerce, qui rassemble l’Union du grand-commerce de centre-ville, la Fédération des enseignes de l’habillement et la Fédération des enseignes de la chaussure. L’essentiel de cette baisse est imputable aux périodes de confinement, précisent-ils. La chute de l’activité est toutefois variable selon les zones géographiques. »
  • « Face à la crise sanitaire et aux restrictions pour freiner l’épidémie, « on reste dans sa zone d’habitation » pour effectuer ses achats, a indiqué mardi Emmanuel de Courcel, fondateur de Retail Int. Les Français ont privilégié les zones commerciales situées en périphéries des agglomérations, délaissant les boutiques des centres-villes. Paris a particulièrement souffert de ce changement d’habitudes, à la croisée des difficultés, en raison du « recul du tourisme, du télétravail » et de l’appréhension vis-à-vis des lieux très fréquentés, a expliqué M. de Courcel. »
  • « La plus grande crainte était d’être confiné alors que les soldes d’hiver représentent une période cruciale, a renchéri mardi lors d’une conférence de presse Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

MédiaCom’, le 20 janvier : Covid-19 : du shopping plaisir au shopping efficace

AFP, Le Figaro, Midi Libre, La Provence, Notre Temps, CB News, Sud Radio, Fashion Network, France 3, La Tribune, 20 minutes, etc., le 20 janvier : Peu d’affluence au premier jour des soldes mais les commerçants gardent espoir ou Début des soldes sous couvre-feu et sans euphorie ou Les soldes démarrent dans le flou

  • « Certains segments ont particulièrement souffert, à l’image de l’habillement. Les enseignes de ce secteur ont perdu près d’un quart de leur chiffre d’affaires annuel (22,6%), selon une étude du cabinet Retail Int. et de l’Alliance du Commerce. »

RFI, le 20 janvier : [Reportage] Covid: les soldes d’hiver sauveront-ils le prêt-à-porter en France ?

  • « La crise [du] coronavirus n’a pas fait que des dégâts sanitaires. De nombreux secteurs ont été bouleversés, essentiellement à cause du confinement, dont celui de l’habillement : il a perdu, selon une étude du cabinet Retail Int. et de l’Alliance du Commerce, près d’un quart de son chiffre d’affaires annuel (22,6%) en comptabilisant les ventes en ligne. Celles-ci ont fortement progressé, mais partaient de très loin et ne compensent que de quatre points la perte d’activité en magasin. De grands noms de l’habillement ont d’ores et déjà déposé le bilan et ce sont plus de 130 000 emplois du secteur qui sont aujourd’hui menacés en France. »

La Dépêche du Midi, le 21 janvier : Le démarrage des soldes grippé par les restrictions sanitaires

  • « Les enseignes de l’habillement espèrent particulièrement tirer leur épingle du jeu : elles ont perdu près d’un quart de leur chiffre d’affaires (22,6 %), selon une étude du cabinet Retail Int. et de l’Alliance du Commerce. »

Journal du Textile, le 26 janvier : COUVRE-FEU, SOLDES : les commerçants résignés mais combatifs

« Selon le panel Alliance du commerce – Retail Int., les ventes d’habillement ont fléchi de 26% en 2020, à périmètre total. Pire, 80% de cette perte est à imputer aux deux fermetures administratives. La flambée des achats sur la toile n’a rattrapé ce manque qu’à la marge. L’e-commerce a certes bondi de 61% mais, comme il ne représentait en moyenne que 9% de l’activité totale du panel, il ne compense que 4 points au total. Du coup, le couvre-feu apparaît comme un moindre mal avec lequel il faut composer et qui est bien préférable à un troisième confinement qui, lui, serait fatal. »

Ouvertures dominicales

Challenges, le 7 janvier : Le shopping dominical s’enfièvre

  • « L’ouverture en janvier n’est qu’une demande de court terme (…). « Il faudrait créer un vrai dispositif d’urgence », martèle ainsi Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, qui réclame aussi une réforme plus large. »

BFM TV, Le live BFM, le 10 janvier :

live BFM Yohann Petiot Ouvertures dominicales

  • « Pour que la journée d’ouverture fonctionne, il faut que les clients soient informés (…). Et il faut aussi informer les salariés suffisamment en amont. Aujourd’hui, tous les départements ne procèdent pas de la même manière. C’est pour cela que l’on dit que l’on est face à une usine à gaz administrative, qui est très difficile à comprendre, et notamment pour les commerçants les plus petits. »

LSA, le 11 janvier (avec CP commun) : Appel à l’ouverture « automatique » des commerces les dimanches de janvier et de soldes

Le Républicain Lorrain (Le Progrès, L’Alsace, Le Journal de Saône et Loire, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, L’Est Républicain, Vosges Matin, Le Bien Public, Le Dauphiné Libéré, Vaucluse Matin), le 12 janvier : Commerce, l’oublié de la relance

  • « Comparée à certains de ses voisins européens, la France a du retard et souffre d’un système extrêmement complexe. La loi Macron de 2015 a été une première étape vers l’assouplissement de ces ouvertures dominicales. Cinq ans après, nous constatons un certain nombre de faiblesses et de limites à cette loi et nous invitons le gouvernement à ouvrir une deuxième étape pour assouplir et faciliter davantage les ouvertures le dimanche.
    Sur ce sujet, il y a 2 axes de travail différents. L’ouverture du dimanche comme réponse à la crise actuelle, qui serait donc ponctuelle et sur le court terme. Et une réflexion plus structurelle autour d’une autre façon de voir le commerce en France, avec notamment la simplification des ouvertures dominicales. »

La Croix, le 15 janvier : Le gouvernement encourage l’ouverture des commerces les dimanches de janvier

  • « C’est évident qu’un commerçant qui a la possibilité d’ouvrir va le faire. On aurait préféré que Jean Castex invite les préfets à mettre en place des dérogations sur tout le territoire, explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Cette organisation représentant 27 000 points de vente en France exige du ministère une réduction du temps des concertations locales qui nous empêchent de répondre avec agilité à la crise ».

La Voix du Nord, le 19 janvier : Soldes d’hiver : les enseignes demandent l’autorisation d’ouvrir les quatre dimanches

  • « Pour ces enseignes, l’ouverture automatique pendant les quatre dimanches des soldes est une nécessité, d’autant que l’année 2021 n’a pas très bien débutée. La tendance sur janvier est marquée par un recul de 40 % de l’activité, lié au décalage des soldes (elles ont été repoussées de deux semaines), à la météo et au couvre-feu, explique Yohan Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, aux Échos. »

Europe 1, le 25 janvier : Covid-19 : quel est l’effet du couvre-feu sur la consommation des Français ?

  • « Le couvre-feu se répercute aussi sur les soldes. On enregistre entre 30% et 40% de fréquentation en moins par rapport à l’an dernier. Paris est la ville qui s’en sort le mieux, avec tout de même une baisse de 10%. Une tendance qui risque de s’aggraver ce dimanche, avec la complexité administrative de l’ouverture. « Malheureusement, le gouvernement n’a pas voulu faire que ces ouvertures dimanche soient automatiques pour tous », rappelle au micro d’Europe 1 Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

Soldes

Europe 1, le 7 janvier : Soldes : Yohann Petiot redoute « un effet d’attentisme des clients »

  • « On demandait avec force au Gouvernement de pouvoir ouvrir tous les dimanches de janvier, dans les zones en couvre-feu à 18h, ou partout ailleurs, pour justement permettre d’étaler les flux de fréquentation sur 2 jours et pouvoir mieux accueillir tous les clients (…). »
  • « Il n’y aur[a] pas d’automaticité dans les attributions de ces autorisations, ce qui nous force, nous, organisations, à faire une demande auprès de toutes les préfectures en France et, aujourd’hui, c’est laissé à la discrétion de certaines préfectures, et nous avons des préfectures qui (…) refusent d’ouvrir les dimanches du mois de janvier. C’est une décision très regrettable. On regrette, en effet, que le Gouvernement ne fasse pas preuve de plus de soutien vis-à-vis des commerces en cette période particulièrement difficile. »
  • « Nous étions favorables au maintien des dates au 6 janvier, comme cela était prévu normalement. Je pense que c’est un mauvais pari fait par certains commerçants de se dire que plus on attend et plus on arrivera à vendre. Il y a le risque, d’abord, que l’on arrive trop tard dans la saison pour les vêtements d’hiver. (…) Au moment de Noël, tous les Français ont un peu d’étrennes, ont un pouvoir d’achat. (…) Or, là, si on arrive trop tardivement vers la fin du mois de janvier, il y a aussi le risque, peut-être, de perdre un peu de ce pouvoir d’achat. Et puis il y a beaucoup de stocks, aussi. Donc on avait un intérêt à ce qu’il puisse être écoulé le plus rapidement possible. »
  • « L’intérêt des soldes est d’être un événement collectif qui profite à tous, que vous soyez grand, moyen ou petit. Tout le monde profite des soldes puisque c’est un événement promotionnel qui est largement relayé par les médias, par la presse. (…) Même sans faire de campagne de publicité, vous bénéficiez de cette opération commerciale que sont les soldes. »

Franceinfo, le 9 janvier : Covid-19 : la déception des commerçants qui souhaitaient ouvrir tous les dimanches de janvier

  • « Le mois de janvier est un mois très important pour certains commerces et certains secteurs, et notamment dans le secteur de la mode. Et pour certaines enseignes, pour certaines marques, le chiffre d’affaires du mois de janvier peut être aussi important que celui réalisé au mois de décembre. »

Paris Normandie, le 10 janvier : Covid-19. Face au décalage des soldes, les commerces normands dans l’inconnu

  • « Des soldes trop tardifs en fin de saison, qui ne répondent pas aux attentes de la clientèle, considère Yohann Petiot, le directeur général de l’Alliance du Commerce, l’organisation professionnelle qui regroupe les grands magasins et les enseignes nationales de l’équipement de la personne. Opposée au report des soldes, l’Alliance estime qu’il sera difficile d’écouler les stocks, importants cette année après le confinement de novembre. Les chiffres positifs du mois de décembre ne compensent pas les pertes, calcule Yohann Petiot. Sans oublier, le risque de reconfinement ou de couvre-feu généralisé à 18 h. Pour certains magasins, c’est 20 % du chiffre d’affaires en moins, assure-t-il. »

Ouest-France, le 14 janvier : Fermeture des commerces à 18 heures : « Difficile de réussir les soldes sous couvre-feu »

  • « Alors que les soldes se profilent, les enseignes d’habillement sont inquiètes. Sur les mois de novembre et décembre, nous avons perdu 30 % de notre activité à cause du reconfinement, explique Yohann Petiot, délégué général de l’Alliance du Commerce. Ça va être difficile de réussir les soldes dans un contexte de couvre-feu. »

Elle, le 17 janvier : Les soldes d’hiver à l’épreuve du Covid-19

  • « Les quinze jours de couvre-feu à 18 heures vont nous permettre de faire le début des soldes, commente Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, qui rassemble l’Union du grand commerce de centre-ville, la Fédération des enseignes de l’habillement et celle des enseignes de la chaussure. Néanmoins, fermer plus tôt va avoir un impact considérable sur l’activité des entreprises, notamment sur celles situées en centres-villes. On estime que c’est jusqu’à 20% de l’activité qui est réalisée après 18 heures. »
  • « Pour compenser, les commerces vont s’organiser différemment. Certains prévoient d’ajuster leurs plages horaires. Ceux qui le peuvent vont ouvrir un peu plus tôt le matin, vers 9 heures ou 9h30 ». Toutefois, Yohann Petiot fait remarquer que ces horaires matinaux ne sont pas les plus pratiques pour les travailleurs. C’est pourquoi il indique que d’autres commerçants envisagent de rester ouverts entre midi et deux, comme c’est déjà le cas dans certains endroits. »

Le Monde, le 18 janvier : Covid-19 : les soldes d’hiver à l’épreuve du couvre-feu

  • « La baisse d’activité s’est établie à -26 % sur l’année pour les magasins, avance Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, fédération de la distribution non alimentaire. »

La Semaine dans le Boulonnais, le 18 janvier : Soldes d’hiver : démarrage sous couvre-feu

  • « Avec une fermeture au niveau national à 18 h, les différentes enseignes devront adapter leurs horaires. Une douche froide, mais un moindre mal comparé à un confinement, estimait il y a quelques jours Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, sur BFM Business : Ça aura un impact sur les entreprises, c’est certain. On perd toute la clientèle post travail. Dans les grandes agglomérations, les clients font du shopping après le travail. Pour les magasins, l’activité après 18 h représente 20 % de l’activité, surtout dans les grandes métropoles qui sont désormais concernées. »

AFP, Nice-Matin, Fashion Network, Le Dauphiné Libéré, Ouest France, Le Courrier picard, L’Union, L’Ardennais, Le Bien Public , etc., le 18 janvier : Des soldes d’hiver pour « atterrir » après une saison hivernale hors du commun ou Consommation Soldes et Covid-19 : les commerçants espèrent sauver leur saison ou Les soldes d’hiver 2021 débutent mercredi 20 janvier, pour sauver une saison hors du commun ou Des soldes pour enterrer définitivement 2020

  • « Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, espère que les soldes garderont leur aspect festif et qu’ils permettront à tous de se faire plaisir, ce qui est important dans la période. »
  • « Pour les commerçants, l’enjeu est plus terre à terre : Décembre a été plutôt satisfaisant grâce au report du Black Friday, au rattrapage des achats et à la préparation de Noël, nuance Yohann Petiot. Mais en cumulé sur novembre-décembre, on enregistre une perte d’activité de 30 % en moyenne. »

Charente Libre, le 19 janvier : Les soldes, c’est ce mercredi : comment vont s’organiser les clients avec le couvre-feu à 18h ?

  • « La donnée « couvre-feu » complique encore un peu plus l’équation. Ce qu’on ignore, c’est le comportement des clients, est-ce qu’ils vont pouvoir aller en magasin à d’autres moments de la journée ?, s’interroge Yohann Petiot. »

20 minutes, le 19 janvier : Les soldes d’hiver vont-ils pâtir du couvre-feu à 18 heures ?

Ouest France, le 19 janvier : Crise du coronavirus. Les soldes de l’espoir pour les commerçants

  • « À lui seul, le commerce de l’habillement a perdu au moins 7 000 emplois et 22 % de chiffre d’affaires, indique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Le secteur sait s’adapter​, assure-t-il. Mais après les manifestations de la SNCF, des Gilets jaunes, contre la réforme des retraites, et maintenant le Covid, cela fait trois ans qu’on n’a pas connu une année normale. »
  • « Il demande donc au gouvernement d’étaler encore le remboursement des prêts garantis par l’État ​et d’autoriser des ouvertures pour les deux dimanches de soldes en février, car les ouvertures dominicales accordées en janvier ont été très compliquées à obtenir. »

Le Figaro, le 19 janvier : Les soldes débutent avec des stocks au plus haut

  • « (…) Rien n’a suffi pour écouler tous les produits invendus de la saison automne-hiver. Les stocks sont forcément plus élevés. Il ne peut pas en être autrement compte tenu du niveau des ventes, explique Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce, qui représente les grandes enseignes de l’habillement. »

France Bleu, le 20 janvier : C’est le début des soldes d’hiver ce mercredi, les clients seront-ils au rendez-vous malgré la crise ?

  • « Cette période de promotion a notamment assuré 13,5% du chiffre d’affaires 2019 des enseignes d’habillement. »

RFI, le 20 janvier : French bargain hunters brave coronavirus and curfews at winter sales

  • « Equality reigns at least with the 6pm curfew. Nobody wants that. But in the hours before the doors shut, there is a chance for festivity, said Yohann Petiot, the head of the Alliance du Commerce (…). You can only hope that les soldes keep the celebration side of things going and that people can get out and enjoy themselves a bit. It is so important at a time like this. »

La Croix, le 20 janvier : Les soldes d’hiver démarrent malgré la crise sanitaire

France 3, le 21 janvier : Covid 19 : Nantes, les commerçants du centre-ville oscillent entre espoir et résignation

Points de Vente, le 25 janvier :

  • « Les soldes, reportés au 20 janvier pourraient souffrir d’un couvre-feu général imposé à 18 heures. Si ce couvre-feu est étendu au-delà des 25 départements concernés, les enseignes pourraient perdre jusqu’à 20 % de leur chiffre d’affaires, soit les ventes qu’elles réalisent après 17 h 30 car elles sont privées de toute la clientèle post-travail, estime Yohan Petiot. »

Conjoncture économique

Le Parisien, le 1er janvier : « C’est un énième coup de massue » : le couvre-feu à 18 heures inquiète les commerçants

Aujourd’hui en France, le 2 janvier : Le ras-le-bol des commerçants

  • « Nous allons nous priver de toute la clientèle de bureau, surtout en ville, qui avait l’habitude d’effectuer quelques achats en rentrant du travail, soupire Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce qui réunit notamment les enseignes de l’habillement et de la chaussure. Dans notre secteur, les tranches 18-19 heures représentent au minimum 15-20 % du chiffre de la journée, précise-t-il. L’impact va être important. »

Le Figaro, le 3 janvier : Le succès des fêtes n’a pas sauvé l’année des commerçants

  • « Certes, nous avons ressenti une vraie envie de consommer, avec des villes moyennes qui ont mieux fonctionné que les grandes métropoles touchées par l’absence de touristes et le retour des grandes manifestations, souligne Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Mais, malgré le succès du Black Friday (décalé au 4 décembre), les mesures sanitaires dans les magasins pour des achats les plus sereins possible, un calendrier favorable offrant deux jours de plus pour faire ses emplettes de Noël et la volonté des Français de se faire plaisir, les bonnes ventes de décembre ne compenseront pas le manque à gagner du reconfinement. »

Les Echos, le 13 janvier : Le couvre-feu à 18 heures, un énième défi pour les commerçants

  • « Dans le secteur de la mode, la part des ventes réalisées après 18 heures se chiffre à 20 %, indique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce. »
  • « Tous les syndicats de magasins spécialisés demandent le droit d’ouvrir le dimanche partout. Le gouvernement a renvoyé le sujet aux préfets. L’étalement des jours d’ouverture permet d’éviter la concentration de clients à laquelle pousse le couvre-feu. »

FashionNetwork, le 13 janvier : Couvre-feu à 18h : quel impact pour les commerces de mode ?

  • « Au-delà de l’impact d’un couvre-feu renforcé sur les ventes, se pose également la question d’un report des flux. “Ce que l’on ne sait pas du tout, c’est quel sera le comportement des clients”, explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce (grands magasins, enseignes mode/chaussure). “On ne sait pas s’il préférera venir à un autre moment de la journée, ou s’il essaiera de venir le week-end. Dans un cas comme dans l’autre, cela va densifier la fréquentation sur certaines plages horaires, ce que sanitairement parlant il faut éviter”. »

BFM TV, Le Live Toussaint, le 13 janvier :

  • « On estime que les commerçants réalisent jusqu’à 20% de leur chiffre d’affaires au-delà de 18h. C’est un chiffre qui commence à être impactant ! Et (…) c’est ce caractère un peu inéluctable des mesures qui nous inquiète (…). Ça nous inquiète d’autant plus que va s’ouvrir une période essentielle pour le commerce, et notamment le commerce de la mode, qui est la période des soldes, qui a été décalée au 20 janvier et qui commence la semaine prochaine. C’est une période dans l’année aussi forte, pour certains acteurs, que l’est la période de Noël. »
  • « Ce qui nous inquiète c’est le couvre-feu cette semaine et le caractère inéluctable dans la progression des mesures. Si cette semaine on nous annonce un couvre-feu à 18h partout, la semaine prochaine, ce sera quoi ? Ce sera peut-être un reconfinement. Et là, ce serait dramatique ! En tout cas, ce qu’il faut dire au Gouvernement c’est que les mesures qu’il prend, il en est souverain, il est maître de la décision, bien sûr, elle lui revient, mais elle aura un impact sur les commerçants. Donc il faut que l’accompagnement, que le soutien au commerce, dans ce cas-là, reprenne, de manière plus active et plus forte. »
  • « Par exemple, l’activité partielle n’est maintenue que jusqu’au 31 janvier à taux plein. Après, à partir du 1er février, on retombe dans un système classique. Donc, si les mesures perdurent, il faudra que ce soit prolongé. (…) Les commerçants se sont fortement endettés toute l’année dernière pour passer la crise. Ils ont été mis en quelque sorte sous perfusion de l’Etat. Il faudra bien maintenant qu’ils commencent à rembourser, et ces remboursements vont commencer dans le courant du premier trimestre ou du premier semestre. Il faudra autoriser plus largement le report, aussi, de ces remboursements, et on voit que le Gouvernement est en train de le faire peut-être pour les restaurateurs. Il faudra prendre des mesures, aussi, de soutien pour les commerçants et agir plus fortement sur les loyers si l’on devait retourner dans une phase de reconfinement, ou même de couvre-feu à 18h. »

BFM TV, le 14 janvier : Yohann Petiot (Alliance du Commerce) : Les annonces de Jean Castex sur le Covid-19 – 14/01

RTL, le 14 janvier : Couvre-feu à 18h : Yohann Petiot réclame « des mesures de soutien » pour les commerçants

  • « L’activité réalisée au-delà de 18h peut représenter jusqu’à 20% de l’activité quotidienne pour un commerce. Donc, c’est véritablement très important. La crainte d’un couvre-feu anticipé sur l’ensemble du territoire est forte chez l’ensemble des commerçants. »
  • « Cette solution-là*, on ne l’imagine même pas parce qu’elle serait encore plus dramatique pour l’activité, et elle serait presque incohérente sur le plan sanitaire. Elle reviendrait à obliger de concentrer les flux sur les heures de journée de semaine, ce qui serait totalement incohérent avec l’objectif que l’on poursuit, c’est-à-dire d’essayer de fluidifier et d’étendre les flux de fréquentation en magasins. »

* Un couvre-feu avec confinement le week-end.

Le Figaro, le 14 janvier : Couvre-feu à 18h: les commerces privés d’une tranche horaire cruciale

  • « Un nœud de cravate qui se resserre » Pour Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, la généralisation du couvre-feu à 18 heures prive encore un peu plus les commerces non alimentaires d’heures stratégiques, à savoir celles où les Français sortent du travail. Et encore plus à cinq jours du top départ des soldes d’hiver. La fédération qui regroupe les enseignes d’habillement, de la chaussure et les grands magasins chiffre à 20 % la perte de chiffre d’affaires de ses adhérents dans les 25 départements déjà sous couvre-feu avancé.

Le Monde, le 14 janvier : Covid-19 : le couvre-feu à 18 heures alarme les commerçants

  • « C’est une nouvelle mesure qui va d’autant plus affecter la consommation dans son ensemble qu’elle s’étend aujourd’hui à des grandes agglomérations, renchérit Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

BFM TV, le 15 janvier : « Tout est chamboulé » : comment le couvre-feu à 18 heures bouleverse le quotidien des français

  • « Ce qu’on ignore, c’est quel va être le comportement des clients, est-ce qu’ils vont pouvoir aller en magasin à d’autres moments de la journée ? C’est pas du tout certain. La pause déjeuner, ça reste assez limité, confirme à l’AFP Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

AFP, La Tribune, le 15 janvier : Les commerces soulagés d’éviter le reconfinement, mais veulent ouvrir le dimanche

  • « Les aménagements mis en place varient d’un magasin à l’autre pour les commerçants situés dans des zones déjà sous couvre-feu: « certains ont fait le choix de fermer à 17H30 pour laisser la possibilité à leurs salariés de rentrer chez eux, parce qu’il faut aussi parfois aller chercher ses enfants. D’autres ferment leur magasin à 18H00 et les salariés ont une attestation », indique Yohann Petiot (Alliance du commerce). »

LSA, le 15 janvier : Couvre-feu à 18 h : les fédérations de commerce mobilisées pour réaménager jours et horaires

  • « C’est aussi une bonne nouvelle que l’annonce faite par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, hier jeudi, du report d’un an des prêts garantis par l’Etat, alors que les premiers remboursements devaient débuter fin mars. Ce report de droit d’un an, du différé de remboursement, doit maintenant s’accompagner d’un allongement de la durée de remboursement de ces prêts au-delà des 6 ans fixés par la commission européenne, estime Yohann Petiot. L’Europe doit adapter son encadrement des aides d’Etat aux entreprises pour qu’elles puissent véritablement être à la hauteur de la crise ».

Le Figaro, le 25 janvier : Commerce: une fermeture en février serait moins pénalisante qu’en novembre

  • « Dans l’habillement, (…) février est le mois de l’année où l’activité est la plus faible. En 2019, 7% des ventes annuelles avaient été réalisées en février, selon l’Alliance du Commerce, qui représente les grandes enseignes de l’habillement. Cette année, l’activité aurait pu être un peu plus importante du fait du décalage des soldes, nuance Yohann Petiot, le délégué général de la fédération. Même si l’on voit bien que les soldes sont mauvais cette année. »

LSA, le 26 janvier : Comment le commerce gère le couvre-feu à 18 heures

  • « Cette généralisation du couvre-feu avancé va générer des baisses de chiffre d’affaires estimées entre 20 et 25 % dans les premiers départements concernés, réagit Emmanuel Le Roch, délégué général de Procos, la fédération du commerce spécialisé. Cela touche particulièrement les commerces situés en centre-ville et ceux du secteur non alimentaire, déplore Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Certaines enseignes réalisent jusqu’à 20 % de leur chiffre d’affaires après 18 heures. Et une fois de plus, le commerce de proximité prend l’avantage, en cette époque de temps contraints, sur les sites de destination draguant loin. »

Le Parisien, le 29 janvier : Covid-19 : la fermeture des grands centres commerciaux divise les professionnels du secteur

  • « D’un certain côté, il y a une forme de soulagement car on craignait une fermeture totale de tous les commerces. Mais cela va toucher plusieurs milliers d’entreprises. Et personne ne nous a donné une date de fin. Cela fait une incertitude de plus. »

Le Parisien, le 30 janvier : Commerces : ce qui change à compter d’aujourd’hui/Centres commerciaux et magasins : les lieux qui ferment et ceux qui restent ouverts

  • « De son côté, Yohann Petiot, le directeur général de l’Alliance du Commerce qui rassemble les enseignes de l’habillement et de la chaussure, déplore des annonces qui stigmatisent particulièrement, en période de soldes, un certain type de commerces. Nous le regrettons, poursuit-il. Certaines enseignes possèdent 50 % de leur parc dans ces centres commerciaux, ce sont celles qui souffriront le plus. »

Le Monde, le 30 janvier : Contre le Covid-19, la fermeture des centres commerciaux décriée comme « mesure gadget »

  • « Une annonce toute aussi abrupte pour Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Des salariés qui apprennent ce soir, en plein milieu de la période des soldes, que leur magasin sera fermé à partir de dimanche, et sans savoir combien de temps cela va durer, lance-t-il, néanmoins soulagé de l’absence d’un confinement généralisé. »

JDD, le 31 janvier : Voyages, travail, commerces : 3 mesures pour ralentir les allées et venues

  • « On ferme avec nos stocks d’hiver, on rouvrira avec nos produits de printemps, se désole Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Vingt-cinq mille points de vente sont touchés. »
  • « Cela va rouvrir le dossier très compliqué des loyers entre bailleurs et commerçants, avertit M. Petiot. »

Confinement

LSA, le 27 janvier : Les commerces « non-essentiels » ouvriraient-ils comme les « essentiels » en cas de reconfinement ?

  • « Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce se prononce également en faveur d’ouvertures sans distinction de genres parce que l’on a eu confirmation, par le rapport de l’Institut Pasteur, que les commerces ne sont pas des lieux de propagation du virus, justifie-t-il. Ceci, quitte à renforcer les protocoles sanitaires, à réviser les jauges de densité de personnes… En revanche instaurer des contraintes de prise de rendez-vous serait difficilement soutenable sur un plan économique, et même contre-productif ! »

Presse Agence, le 28 janvier : PARIS : Yohann PETIOT : Tous les commerces doivent rester ouverts en cas de reconfinement

LSA, le 29 janvier : Reconfinement : la solution de l’Alliance du commerce pour maintenir tous les magasins ouverts

  • « Autre preuve de bonne volonté et de proactivité, pour que tous les commerces restent ouverts, l’Alliance du Commerce est prête à participer activement aux consultations en cours afin de trouver les moyens de maintenir au maximum l’activité des points de vente ». En conclusion, Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, déclare qu’ alors que plusieurs scenarii sont évoqués pour faire face à l’évolution de la crise sanitaire, nous demandons au Gouvernement le maintien de l’ouverture de tous les commerces. Nous avons appris des différents confinements et nous devons absolument éviter les erreurs passées en permettant à tous les commerçants de poursuivre leur activité dans le plus strict respect du protocole sanitaire. Tout renforcement des restrictions d’activité nécessitera l’adoption de mesures de soutien adaptées à tous les types de commerces, et notamment aux entreprises en réseaux. Un trop grand nombre d’entre elles sont aujourd’hui exclues des principales aides« .

BFM TV, le 29 janvier : En cas de reconfinement « hybride » ou « serré », quel sera le sort des commerces ?

  • « L’Alliance du Commerce (…) exige que tous les commerces restent ouverts et rejett[e] les possibilités d’ouvertures partielles. Elle demande au contraire que les déplacements de clients restent autorisés sur la base d’une attestation comme celle mise en œuvre lors du confinement de novembre-décembre. »

Prêts garantis par l’État (PGE)

Le Figaro, le 13 janvier : Bruno Le Maire soutiendra l’économie « aussi longtemps que la crise durera »

  •  « Nous aimerions que le différé de remboursement de deux ans puisse être automatique pour les ­entreprises du commerce, plaide Yohann Petiot, délégué général de l’Alliance de Commerce, qui représente de grandes enseignes de l’habillement et des grands magasins. Mais ensuite, les difficultés à rembourser seront grandes… »

Dernières actualités

INSCRIVEZ-VOUS
À NOTRE NEWSLETTER

Dossiers, actualités, brèves du secteur :
restez informés en vous abonnant gratuitement à notre newsletter.

DÉCOUVREZ TOUS
LES AVANTAGES ADHÉRENTS

M