Octobre 2020 : l’Alliance du Commerce dans les médias

28/10/20Revue de presse

Bilan de la consommation

Fashion Network, le 9 octobre : En septembre, les enseignes de mode ont vu leurs ventes reculer de 7% en France (reprise du bilan de la consommation de septembre)

Conjoncture économique

Le Monde, le 5 octobre : En France, la consommation montre des signes de faiblesse, les commerçants craignent le pire

  • « Un nouveau confinement serait dramatique pour le secteur du commerce, prévient Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Dramatique, surtout à l’approche de la période des fêtes de Noël. »

LSA, le 10 octobre : Le commerce se réjouit de l’élargissement des mesures du plan Tourisme aux magasins non alimentaire situés en Zone Touristique (reprise du communiqué de presse)

  • « L’élargissement du Plan Tourisme aux commerces est la reconnaissance que la France représente une destination shopping majeure, et que les achats constituent une des principales motivations à la venue des touristes internationaux dans notre pays. A titre d’exemple, les Grands magasins du Boulevard Haussmann accueillent chaque année plus de 50 millions de visiteurs, écrit l’Alliance du Commerce. »

LSA, le 12 octobre : Bonne nouvelle pour les commerces « non-al » en zones touristiques !

Fashion Network, le 12 octobre : France Relance: un site pour faciliter l’accès aux mesures

  • « Le plan n’a en revanche pas séduit les professionnels du commerce, qui s’estiment “les grands oubliés” de France Relance, en dépit d’une activité également fortement impactée par la crise sanitaire (relire notre interview du directeur général de l’Alliance du Commerce). »

Fashion Network, le 12 octobre : Les commerces de mode situés en ZTI peuvent maintenant bénéficier du plan d’aide au tourisme

  • « Par cette mesure, le gouvernement reconnaît la contribution essentielle du commerce au dynamisme du tourisme. La France est une destination shopping incontournable pour les visiteurs étrangers », rappelle Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, précisant à titre d’exemple que les grands magasins du boulevard Haussmann à Paris accueillent d’ordinaire plus de 50 millions de visiteurs par an. »

Points de Vente, le 13 octobre : Les enseignes retiennent leur souffle

  • « La rentrée scolaire a vu un rebond des ventes pour les enfants et les adolescents mais la totalité du mois de septembre s’est affichée dans le rouge. Le directeur général de l’Alliance du Commerce précise sans ambages : “Nous sommes très inquiets car nous arrivons sur la période cruciale de la fin de l’année. Un reconfinement serait dramatique car, structurellement, certains pans de notre secteur sont assez fragiles, explique-t-il. Bien que nos magasins aient mis en place tous les protocoles pour accueillir les clients dans des conditions optimales, nous ne sommes pas certains du tout que ceux-ci reviendront dans nos surfaces”. »
  • « Nous sommes bien conscients que le gouvernement ne peut prévoir les aléas de la situation sanitaire mais nous souffrons d’un manque d’anticipation dans les décisions qui nous empêche de mettre en place une organisation de crise durant des semaines, de gérer nos stocks et nos commandes, regrette Yohann Petiot, sans faire de reproches aux pouvoirs publics. »

LSA, le 21 octobre : Couvre-feu : cinémas et restaurants ne sont pas les seuls commerces atteints

  • « Le phénomène est venu intensifier une dégradation d’activité déjà constatée sur les métropoles concernées, explique Yohann Petiot, le directeur général de l’Alliance du Commerce. Tous types de territoires confondus, l’activité a perdu 7 à 8 points depuis le 17 octobre. Ainsi, l’ensemble de la France qui était à -1% début octobre se retrouve à -8%. Tandis que les huit villes et Paris, à l’activité déjà dégradée de 8% en début de mois avant le couvre-feu, atteignent, depuis son entrée en vigueur, 16% de recul. »

AFP, Sud Ouest, Ouest France, etc., le 27 octobre : Malgré la flambée de Covid-19, les commerçants demandent à rester ouverts (reprise du communiqué de presse)

Presse Agence, le 27 octobre : PARIS : Reconfinement, l’ouverture des commerces essentielle pour réussir cette fin d’année

Fashion Network, le 27 octobre : Nouvelles mesures sanitaires: les commerces inquiets à l’approche des fêtes

  • « Le Gouvernement doit absolument préserver l’ouverture de tous les commerces au-delà de 19h et laisser aux consommateurs la possibilité de réaliser leurs achats en magasin le week-end. De nouvelles restrictions aggraveraient encore davantage la distorsion de concurrence entre le commerce en ligne et physique, mettant en péril de nombreuses entreprises et des milliers d’emplois », estime le directeur général de l’Alliance, Yohann Petiot. »

Le Figaro, le 27 octobre : Covid-19 : « en danger », les commerçants demandent à rester ouverts

  • « Nous demandons solennellement le maintien de l’ouverture de tous les commerces en journée et le week-end afin de permettre aux enseignes de réaliser leur activité et d’accueillir les clients, écrit dans un communiqué l’Alliance du Commerce, qui représente 27.000 magasins. »

Notre temps (avec AFP), le 28 octobre : Macron tranche mercredi : deux semaines après le couvre-feu, le reconfinement ?

  • « L’Alliance du commerce, qui représente 27.000 magasins, a demandé au gouvernement de maintenir les magasins ouverts « en journée et le week-end », craignant des « conséquences dramatiques à l’approche de la période des fêtes de fin d’année ». »

France Bleu, le 28 octobre : Coronavirus : « il faut tout faire pour sauver Noël », alerte l’Alliance du commerce

  • « Entre la fermeture totale du printemps et l’été sans touristes – particulièrement à Paris – les commerçants sont déjà sur le fil. Nous redoutons un couvre-feu encore plus fort, dès 19h. Et le reconfinement total, notamment le week-end (…). Les conséquences seraient dramatiques pour le commerce alors que nous arrivons dans la période essentielle des fêtes de fin d’année. Rien que pour le secteur de la mode, Noël c’est 20% des ventes annuelles. »


LSA, le 28 octobre : [Covid-19] L’Alliance du commerce dit non au confinement

  • « Pour L’alliance du commerce, un durcissement des mesures aurait des conséquences dramatiques pour le commerce à l’approche de la période des fêtes de fin d’année ».

AFP, Challenges, La Croix, RMC, etc., le 28 octobre : A l’heure du covid-19, comment faire ses courses de Noël ? / Covid-19: quel impact sur les courses de Noël ?

Les Echos, le 28 octobre : Reconfinement : les magasins de mode ne veulent pas rater Noël / Reconfinement : les magasins de mode vont-ils rater Noël ?

  • « Novembre et décembre représentent près de 20 % des ventes annuelles. Nous ne pouvons pas rater un troisième Noël, relève Yohann Petiot, le directeur général de l’Alliance du Commerce, qui regroupe des enseignes comme Kiabi, Etam ou les grands magasins. Les deux saisons précédentes avaient été fortement impactées par les « Gilets jaunes » et les grèves. »

AFP, L’Express, Huffpost, etc., le 28 octobre : Celio prévoit la fermeture de 102 magasins en France, 383 emplois sont menacés

  • « Le marché de la mode est « structurellement en difficulté » et « a perdu 17% de sa valeur sur les dix dernières années », selon Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »
  • « Cette Alliance a averti, dans un communiqué mardi soir, qu’un reconfinement « aurait des conséquences dramatiques pour le commerce à l’approche de la période des fêtes de fin d’année », période « essentielle » qui « représente plus de 20% du chiffre d’affaires annuel des enseignes de mode », note Yohann Petiot. »

– BFMTV, le 28 octobre : Fermeture des commerces non-essentiels : une mesure « incompréhensible » pour le directeur général de l’Alliance du Commerce

La Provence, le 29 octobre : La course aux jouets de Noël a déjà commencé

  • « Nous réalisons près de 60 % de notre chiffre d’affaires sur les trois derniers mois de l’année. Avec le confinement de mars, nous avons développé d’autres systèmes de vente et instauré notamment le « click and collect », mais c’est très marginal. Il faut que le gouvernement comprenne qu’il doit nous laisser travailler et qu’il nous considère comme des magasins de produits essentiels, au même titre que les grandes surfaces, qui eux auront tout loisir de vendre les jouets. Un message que lance également Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce en plaidant que le commerce ne pourra pas supporter de nouvelles contraintes durant les fêtes de fin d’année. »

Les Echos, le 29 octobre : Les commerçants s’estiment sacrifiés sur l’autel de la lutte anti-Covid

  • « Incompréhension », « injustice » : les commerçants dont les boutiques fermeront à cause du nouveau confinement sont en état de sidération. Aucun foyer de contagion n’a été identifié dans les magasins. Le danger n’est pas plus grand dans un commerce de vêtements que dans un supermarché ou dans un train dans lequel on voyage des heures à côté d’autres passagers, proteste Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce qui représente 450 enseignes et 27.000 points de vente dont les grands magasins. »
  • « Le commerce s’estime sacrifié sur l’autel de la lutte anti-Covid et les commerçants vivent mal que le président ait donné l’impression qu’ils ne faisaient pas partie de l’économie qu’il fallait sauver. « Pourtant, nous représentons 10 % à 15 % de la valeur ajoutée créée dans le pays », rappelle le directeur général de l’Alliance du Commerce. « Les mesures de compensation sont insuffisantes », affirme Yohann Petiot. Le gouvernement va dans les heures qui viennent prendre des mesures de renforcement des aides et a promis un crédit d’impôt aux bailleurs pour la baisse des loyers. »
  • Le click-and-collect sera bien autorisé, mais « le confinement créé une nouvelle distorsion de concurrence avec les e-commerçants », tranche Yohann Petiot. »
  • « Le gouvernement promet des aides à la numérisation, mais elles ne sont pas nouvelles car elles sont contenues dans le plan de relance et ce n’est pas en deux jours que les boutiques qui ne sont pas équipées vont le faire, répond Yohann Petiot. Les grandes enseignes comme la Fnac ou Castorama sont prêtes à vendre en ligne mais en mars cela n’avait pas compensé l’absence des clients dans les rayons. »

M6, Le 1245, à 15:16, le 29 octobre :

  • « Le « quoi qu’il en coûte » de mars-avril n’a pas fonctionné puisque l’on a assisté à de nombreuses suppressions d’emplois. »
  • « Il faut véritablement que le « quoi qu’il en coûte » du mois de novembre soit beaucoup plus fort. Il faut que le Gouvernement prenne des mesures de soutien renforcées et que le principe 0 recette = 0 charge soit véritablement appliqué. »

Le Figaro, le 29 octobre : Reconfinement : la colère des commerces et des restaurants

  • « Si les commerçants étaient abasourdis mais compréhensifs en mars, la colère, cette fois, l’emporte devant une mesure qu’ils perçoivent comme injuste et dévastatrice. Nous nous sentons sacrifiés, explique Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance du Commerce, qui représente de grandes enseignes de l’habillement. On nous avait assuré que nous ne revivrions jamais ça. Nous avons acheté et reçu les stocks de Noël. Et nous devons fermer au moment de l’année le plus important pour nous ! ».
  •  « La fermeture passe d’autant plus mal que les commerçants ont investi du temps et de l’argent pour respecter les normes sanitaires. Aucun cluster n’a jamais été observé dans un magasin, s’insurge Yohann Petiot. Fermer est complètement injustifié. Nous envisageons un recours en justice. »

Fashion Network, le 29 octobre : Reconfinement : les commerces prêts à contester les fermetures

  • « La décision de fermer les commerces est totalement incompréhensible et tout aussi injuste. Nos commerces sont essentiels à la vie sociale et à l’économie de notre pays ! Il est essentiel de préserver coûte que coûte les emplois dans le secteur de la mode, tant fragilisé par le premier confinement et les crises successives. L’État ne doit pas créer par ce nouveau confinement une distorsion de concurrence inacceptable entre les commerces fermés et les pure-players sur Internet », martèle Yohann Petiot, le délégué général de l’Alliance. »

LSA, le 30 octobre : Reconfinement : le cri d’alarme du commerce non alimentaire

  • « Après deux hivers catastrophiques marqués par les ”gilets jaunes” et les mouvements sociaux, la crise sanitaire a déjà entraîné une perte de plus de 20 % du chiffre d’affaires de nos entreprises depuis le début de l’année. Le commerce ne pourra pas supporter de nouvelles contraintes durant les fêtes de fin d’année. Cette période essentielle représente plus de 20 % du chiffre d’affaires annuel des enseignes de mode. »

Sud Radio, Les Vraies Voix, le 30 octobre : « La Fnac et la grande distribution vont devoir fermer leurs rayons livres, ce soir (…). Ce serait une bonne nouvelle, en cela qu’elle rétablirait une équité de traitement entre les différents commerces. (…) La question est : « est-ce que tout le monde ouvre ou est-ce que tout le monde ferme ? » Notre position, aujourd’hui, est que l’on pense que, vu les mesures sanitaires que nous avions prises depuis le mois de mai, on était en capacité de rester ouverts. Il n’y a pas, aujourd’hui, plus de risques dans un commerce que dans une grande surface. Notre position est vraiment sur l’égalité de traitement et nous devons tout faire pour la rétablir. »

BFMTV, le 31 octobre : Le directeur général de l’Alliance du Commerce veut permettre une activité économique « pour sauver Noël »

  • « Ce sont 200.000 commerces qui sont aujourd’hui fermés, qui sont dans des situations économiques et sociales dramatiques. On sait qu’il y aura énormément de faillites après ça, et donc des emplois qui seront supprimés. »

Le Parisien, le 31 octobre : La révolte des boutiques fermées ou Reconfinement : la fronde des petits commerçants

  • « Sur le plan sanitaire (…), l’incompréhension est totale. Les commerces sont sacrifiés alors qu’ils ont respecté toutes les mesures barrière depuis six mois et qu’aucun cluster n’a été détecté chez eux, s’emporte Yohann Petiot, le directeur général de l’Alliance du Commerce. »
  • « Tous ont les yeux rivés sur la date de revoyure d’Emmanuel Macron fixée à quinze jours, en fonction de la situation sanitaire du pays. Yohann Petiot l’assure : Nous allons tout faire d’ici là pour convaincre que nous pouvons ouvrir de façon responsable. »

Le Monde, le 31 octobre : Reconfinement : le gouvernement s’efforce d’apaiser la colère des libraires

  • « La Fédération des commerces spécialistes des jouets et des produits de l’enfant (FCJPE) ne décolère pas. Depuis plusieurs jours, Philippe Gueydon, directeur général de King Jouet, exige de Matignon qu’il ferme l’accès de la clientèle des hypers aux rayons de jouets, comme « ils doivent y procéder lors de matchs de foot régionaux, en interdisant l’accès aux rayons des alcools ». (…) Faute d’avoir été entendus, les dirigeants d’enseignes de jouets, dont 60 % des ventes s’effectuent en novembre et décembre, ont décidé de lancer une procédure contre l’Etat, vendredi, au regard des conséquences désastreuses du décret de reconfinement. La FCJPE saisit en référé le Conseil d’Etat pour violation manifeste du principe d’égale concurrence. D’autres secteurs pourraient s’engouffrer dans la brèche ouverte par les libraires. Le précédent Fnac « doit faire jurisprudence », explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Car pourquoi accorder cela au livre, et pas au vêtement et au bijou ? L’Alliance suggère de sortir de cette « situation criante d’injustice » en fermant tous les magasins et les rayons de produits non essentiels ou en ouvrant tous les magasins avec de nouvelles mesures sanitaires renforcées. »

Commerce à Paris/de centre-ville

Fashion Network, le 2 octobre : Cœurs de ville : lancement du 1er comité de pilotage de redynamisation commerciale

  • « L’idée de créer des foncières pour repeupler les centres-villes, c’est curatif et non préventif, s’agaçait ainsi début juillet Yohann Petiot , directeur général de l’Alliance du Commerce (enseignes mode et chaussures). Reprendre, moderniser et louer ces surfaces implique que cela va concerner des commerces qui vont fermer, au lieu de les aider à rester ouverts. Pire : durant le temps où ces commerces seront en travaux, cela risque de faire à nouveau exploser les taux de vacance en villes moyennes. »

LSA, le 7 octobre : « Le commerce en danger à Paris », lettre ouverte de 10 fédérations à Anne Hidalgo (reprise du communiqué de presse + AFP + Boursorama, actu.fr, etc.)

  • « Avant d’agir, essayez de nous proposer des alternatives. Vous venez de dire sur les médias ce weekend que vous n’aimiez pas ce qui vient d’en haut, en défendant l’idée d’une concertation permanente. Vous avez raison. Or, nous constatons que vous décidez parfois sans concertation, la veille pour le lendemain ».

CNEWS, le 7 octobre : « L’appel au secours des commerçants à Anne Hidalgo »

France Bleu, le 7 octobre : Des commerçants parisiens lancent « un appel au secours » à Anne Hidalgo face aux nouveaux aménagements

Paris Match, le 7 octobre : Des commerçants parisiens lancent un « appel au secours » à Anne Hidalgo + reprise par Yahoo Actualités

BFMTV, le 8 octobre : Paris : des commerçants parisiens lancent un « appel au secours » à Anne Hidalgo

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