Novembre : l’Alliance du Commerce dans les médias

13/11/19Revue de presse

Travail en soirée

(Communiqué de presse : Ouverture après 21h des commerces alimentaires : il est urgent d’agir pour sécuriser l’emploi et les entreprises)

LSA, le 5 novembre : L’Alliance du Commerce veut « sécuriser » le travail après 21 heures

  • « Fixer les règles des ouvertures et de l’emploi dans le commerce alimentaire après 21 heures, c’est ce que souhaite l’Alliance du Commerce (…). Objectif : donner les armes nécessaires aux magasins physiques pour commercer à armes égales avec les acteurs du commerce en ligne. Côté salariés, cette législation leur permettrait de bénéficier de contreparties définies dans le cadre du dialogue social avec les partenaires sociaux. »
  • « À l’heure où les magasins autonomes se développent, l’insécurité juridique contribue à accélérer les démarches d’automatisation et à détruire de l’emploi, estime l’Alliance du Commerce. »

Mediapart, le 12 novembre : Travail de nuit dans les supermarchés : le gouvernement temporise

  • « En avril, dans Le Monde, Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce, qui représente 26 000 points de vente, assurait déceler « une vraie demande à Paris, comme dans d’autres grandes villes de France », pour l’ouverture plus tardive des supermarchés, « en raison des changements de rythme de vie et d’un fractionnement des achats alimentaires ». Il comptait environ 42 000 salariés possiblement concernés par le travail en soirée dans le secteur en France. »

Le Monde, le 13 novembre : Le travail de nuit dans les commerces mis en veilleuse

  • Aujourd’hui, les horaires tardifs sont d’ores et déjà une réalité dans le monde de la distribution. D’après l’Alliance du Commerce, qui regroupe plusieurs organisations professionnelles, quelque 42 000 salariés travailleraient en soirée dans les commerces alimentaires, notamment de proximité. Tous les types d’établissements (à dominante alimentaire ou non) implantés dans les zones touristiques internationales (ZTI) ont le droit d’accueillir des clients au-delà de 21 heures – ainsi que tout le dimanche –, à condition d’avoir signé avec les syndicats des accords prévoyant diverses compensations (doublement de la rémunération, repos compensateur, etc.). En dehors des ZTI, des enseignes sont aussi actives après 21 heures, grâce à des accords d’entreprise ou de branche – mais dont la solidité juridique est incertaine. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs été invalidés par la justice, à la suite de recours syndicaux.
  • « L’idée n’est pas de généraliser les ouvertures en soirée, mais de sécuriser les accords conclus avec les partenaires sociaux au sein des entreprises, et qui sont régulièrement remis en cause dès qu’ils sont assignés devant les tribunaux, explique Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

Franceinfo, le 7-9:30, le 13 novembre :

  • « Qui ouvre au-delà de 22h, aujourd’hui ? Ce ne sont pas les grandes surfaces de périphérie. Ce sont vos commerces de proximité, dans votre centre-ville, qui vous permettent de faire vos courses pour votre dîner ou un achat de consommation courante. Aujourd’hui, les acteurs ne veulent pas aller plus loin, ne veulent pas ouvrir davantage. Ils ouvrent déjà. Ils veulent juste que ça se fasse dans une situation qui est sécurisée au niveau juridique, et qui préserve à la fois l’emploi et l’activité sur ce créneau horaire, au-delà de 21h. Majoritairement, aujourd’hui, ce qui se fait, ce sont des ouvertures jusqu’à 22h. »

La Croix, le 13 novembre : Travail de nuit, le gouvernement temporise

  • « Selon Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce, dont Monoprix est l’un des adhérents, l’ouverture des commerces alimentaires après 21 heures est une pratique désormais courante à Paris et dans les grandes villes. « C’est déjà une réalité économique et sociale », dit-il, ajoutant qu’on estime à plus de 42 000 le nombre de salariés concernés et de plusieurs millions de clients par an qui font leurs emplettes alimentaires après 21 heures. »
  • « L’idée n’est pas de pouvoir ouvrir davantage mais de sécuriser les ouvertures tardives qui existent, affirme Yohann Petiot. (…) Des accords d’entreprises sont parfois attaqués devant les tribunaux et la justice les annule de manière régulière. »
  • « Le recours au travail de nuit n’est (…) justifié que pour deux raisons : assurer la continuité de l’activité économique ou que cette activité soit un service d’utilité sociale, précise Yohann Petiot. Or des juges considèrent parfois que l’ouverture après 21 heures ne répond à aucune de ces deux raisons. D’où une insécurité juridique qui serait levée avec le texte du gouvernement. »

BFM Business, Good Morning Business, le 14 novembre :

Les Echos, le 21 novembre : Les ventes des magasins sont marginales après 21 heures

  • « L’Alliance du Commerce qui défend, entre autres, les grands magasins et Monoprix, rappelle qu’entre 20 et 21 heures ce sont 3 % à 4 % des ventes qui sont réalisées. »

Black Friday

Fashion Network, le 25 novembre : Black Friday : un rendez-vous à ne pas brader

RMC/BFM TV, le 27 novembre : Faut-il supprimer le Black Friday ?

  • « La députée Delphine Batho veut aller jusqu’à interdire le Black Friday. Impensable pour Yohann Petiot, membre du Conseil du Commerce de France (CdCF). « Faut-il rappeler qu’il y a depuis un an des milliers de commerçants qui ont vu leur activité baisser à cause du mouvement des ‘gilets jaunes’. Aujourd’hui s’ouvre la période des fêtes de Noël qui est une période essentielle pour les commerçants. C’est un soutien aussi au commerce que font les Français en cette période de fin d’année. On ne peut pas se permettre de rater une nouvelle fois une saison de Noël après celle qu’on a vécu l’année passée », affirme-t-il. »

Challenges, le 27 novembre : L’inquiétude des commerçants face à la vague anti-Black Friday

  • « C’est une déclaration très regrettable, confirme auprès de Challenges Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. Car elle intervient « après un an de difficultés avec le mouvement des gilets jaunes et avant une semaine de manifestations », s’inquiète-t-il en rappelant que le Black Friday lance les achats de Noël et que le mois de décembre compte pour 10%, voire 20% dans certains cas, de l’activité annuelle des commerçants. Et Yohann Petiot de faire valoir que la consommation contribue fortement à la croissance économique. »
  • « Le directeur général de l’Alliance du Commerce déplore le climat ambiant de « conso bashing », la « culpabilisation de la consommation » avec des mouvements comme Extinction Rebellion mais aussi « portée au plus haut niveau » avec cette déclaration d’Elisabeth Borne »

Le Figaro, le 27 novembre : Les commerçants craignent une période tendue pour les courses de Noël

  • « Les magasins physiques se sont désormais largement emparés de l’événement, même si certains d’entre eux préfèrent miser sur une « abstinence promotionnelle » en cette journée médiatisée afin de se différencier. En Île-de-France, un sur deux prévoit de proposer des promotions ce vendredi, selon l’Alliance du Commerce. »
  • « Le Black Friday est une opportunité qui permet de parler des produits et de dynamiser les ventes », constate Yohann Petiot.

Le Figaro, le 27 novembre : Les dessous intéressés de la fronde anti-« Black Friday »

  • « Il ne faudrait quand même pas oublier que la consommation est l’un des moteurs de l’économie française, défend Yohann Petiot, de l’Alliance du Commerce. Et que nous représentons 3,5 millions d’emplois ! »

Public Sénat, le 28 novembre : Allons Plus Loin

LCP, le 29 novembre : Ça vous regarde : Tous contre Amazon ?

  • « On est dans un moment de consommation bashing qui a atteint son paroxysme cette semaine (…). Le discours anti-consommation du gouvernement a été très mal vécu (…). Les discours anti-consommation peuvent être dangereux. »
  • « Il faut être intraitable face à un acteur international qui ne respecte pas les règles fiscales, sociales et environnementales et qui ne joue pas à armes égales avec les autres acteurs. »

France 5, le 29 novembre : C’est dans l’air, Black Friday : des soldes à tout prix ?

Manifestations/grève

Le Parisien, le 17 novembre : Gilets jaunes : les commerçants inquiets à un mois des fêtes de fin d’année

  • « Les prochaines semaines seront cruciales pour la réussite de l’activité, après un début d’année particulièrement difficile. »

Le Monde, le 28 novembre : Réforme des retraites : Les commerces s’inquiètent de l’impact de la grève pendant les fêtes

  • « Il y a de gros points d’interrogation et un peu d’angoisse sur l’impact économique. »
  • « Les réunions de crise économique suite aux attentats se sont transformées en réunions « gilets jaunes » toutes les semaines avec la préfecture de police concernant la sécurisation des périmètres de manifestations du samedi. Cela ne s’est jamais arrêté. »

Bailleurs-enseignes

LSA, le 13 novembre : 5 pistes pour un nouveau pacte bailleurs-enseignes

  • « Certains bailleurs fixent le niveau des loyers minimaux garantis au plus élevé pour se garantir de toutes fluctuations de marché, dénonce Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. En véritables partenaires, ils devraient les corréler à l’activité réelle des centres sous forme de loyers variables ! »
  • « La notion de travaux dits « d’embellissement », seuls facturables aux locataires, reste ambiguë. (…) C’est un dilemme des plus anciens, et pourtant toujours pas résolu, dans le rapport de force entre bailleurs et enseignes. Ces dernières se voient facturer divers coûts de travaux menés dans le centre, qu’elles estiment injustifiées. Cette opacité des charges n’est pas un vain mot pour Dan Ohnona, directeur du patrimoine et de l’expansion du groupe Fnac-Darty : « Nous avons une équipe de 5 personnes affectées à la gestion locative immobilière qui vérifie chaque ligne des factures qui nous sont envoyées. Nous relevons plus de 1 million d’euros d’erreurs de facturation par an pour l’ensemble de nos bailleurs ! La seule limite à l’exercice semble être leur imagination. » Et « ces charges refacturées peuvent capter le résultat net d’une année, voire de plusieurs, pour l’enseigne en place », abonde Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du Commerce. »

Centres commerciaux

Le Figaro, le 27 novembre : Les centres commerciaux font leur mue pour résister à la crise

  • « Pour redynamiser ces derniers, le gouvernement vient de donner aux préfets la possibilité, dans certains cas, d’instaurer un moratoire sur la construction de centres commerciaux. « C’est une bonne chose lorsque le marché est déjà saturé »
  • « Le commerce obéit à une loi simple : il va là où s’installent les habitants. C’est donc davantage sur l’offre de logements et de services publics qu’il faut agir. »

Nomination

(Communiqué de presse : Nicolas Houzé, élu nouveau Président de l’UCV)

LSA, le 6 novembre : Nicolas Houzé succède à Régis Schultz à la tête de l’Union du grand commerce de centre-ville

  • « Nicolas Houzé, directeur général des Galeries Lafayette et du BHV Marais, est élu président de l’Union du grand commerce de centre-ville (UCV), en remplacement de Régis Schultz. »

FashionNetwork, le 12 novembre : L’Union du grand commerce de centre-ville nomme Nicolas Houzé à sa tête

  • « L’Union du grand commerce de centre-ville vient d’annoncer que Nicolas Houzé, le directeur général des Galeries Lafayette et du BHV Marais, endossait le rôle de président de cette entité réunissant les grands magasins et les magasins populaires. Il succède à Régis Schultz, qui a quitté la barre de Monoprix cette année pour rejoindre la firme émiratie Al Futtaim. »

Journal du Textile, le 19 novembre : Nicolas Houzé préside l’Union du grand commerce de centre-ville

  • « Une nouvelle casquette pour NICOLAS HOUZÉ. Le dirigeant de la branche grands magasins du groupe Galeries Lafayette vient d’être élu président de l’Ucv (Union du grand commerce de centre-ville), l’organisme qui fédère les grands magasins et les magasins populaires (Printemps, Galeries Lafayette, Bhv Marais, Bon Marché et Monoprix). Il fait également partie de l’Alliance du commerce. »

Si vous avez manqué… : l’essentiel d’octobre

Les Echos : « Le commerce de centre-ville ne supportera pas une nouvelle saison de manifestations », interview de Christian Pimont (économie)
LSA : Les enseignes de mode doivent-elles avoir peur de Vinted ? (seconde main)
Franceinfo, l’invité éco : Yohann Petiot (Alliance du commerce) : « L’ère du gigantisme est terminée » (économie)

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